Par Lise Michaud L’appartenance à son milieu professionnel, à sa ville, à sa communauté… L’appartenance est une valeur importante et individuelle qui demeure un besoin fondamental de l’être humain à travers les époques. Vous et moi entendons des slogans très éloquents de la part des municipalités qui vantent leur territoire et qui font valoir tant la beauté des lieux, le plaisir d’y habiter, que la solidarité qu’on pourra y retrouver. On veut évidemment nous influencer dans notre choix d’appartenance. Que l’on adhère ou non à ces propos, il n’en demeure pas moins que nous sommes tous liés à notre collectivité selon notre volonté d’y être impliqué et au niveau qui nous convient. Avec l’arrivée de l’automne, l’appartenance à la communauté du Lowney prend toute sa couleur. Après un été à vivre l’animation près des piscines, le partage d’un bon repas sur le BBQ ou simplement la relaxation sur la terrasse, des liens se sont créés parmi l’ensemble des résidents. À ce temps-ci, le chalet urbain et son foyer reprennent la vedette alors que la salle de cinéma maison devient lieu de passion pendant les matchs de hockey. Peu importe nos choix, on sent une fierté d’habiter dans un projet qui permet de dire qu’il fait vraiment bon vivre à Montréal. Ici ce n’est plus une « légende urbaine » ou un « slogan », c’est la vraie vie. Et mon discours s’appuie non seulement sur les commentaires que les gens nous partagent mais aussi sur des faits. En effet, plus de 60% des copropriétaires nous réfèrent un collègue de travail, un ami, un parent qui lui aussi le fera à son tour. Un taux de référencement vraiment hors du commun qui permet de bâtir ce qu’on connaît au Lowney soit une atmosphère et une appartenance bien spéciales. Selon moi, cette chaîne humaine est une belle démonstration de ce qu’est un vrai sentiment d’appartenance. Un sentiment de cette nature se développe en toute liberté et ne s’impose pas… Qu’en dites-vous ? Lise
Iniquité intergénérationnelle : Une proposition de fonds gouvernemental pour faciliter l’accès à la propriété des jeunes Québécois
Dans un contexte de crise du logement exacerbée, entre autres, par l’inflation, les taux d’intérêt élevés et les défis climatiques, Laurence Vincent, présidente de Prével, a présenté une initiative audacieuse visant à soutenir les jeunes adultes dans l’acquisition de leur première propriété. Ce programme, détaillé dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale du Québec, propose des solutions concrètes pour contrer l’iniquité intergénérationnelle en matière d’habitation.
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