Jeudi le 7 février 2013, la Ville de Montréal a annoncé la construction de 4 centres de transformation de la matière organique. Cette annonce fait suite à plusieurs études portant sur le potentiel de valorisation de cette ressource, ainsi qu’aux travaux de l’office de consultation publique de Montréal, unanimes sur les avantages économiques et environnementaux du compostage et de la biométhanisation. En effet, plus de la moitié des déchets envoyés aux sites d’enfouissement par les ménages montréalais peut être transformée en compost et en méthane, réduisant ainsi de beaucoup la pression sur ces sites et le besoin d’en ouvrir de nouveaux, avec tous les désavantages que cela comporte sur la qualité de vie dans les municipalités et les quartiers avoisinants. Avec ces 4 centres, la Ville prévoit détourner de l’enfouissement plus de 219 000 tonnes de matières résiduelles, et de réduire la production de gaz à effet de serre associée à leur transport de 21 000 tonnes par année. Personnellement, j’ai été étonné d’apprendre que plus de la moitié des 514 kilogrammes de résidus domestiques produits annuellement par un montréalais moyen est composée de matière organique. Pour trouver des trucs écologiques et économiques, j’utilise des sites comme ceux de Greenpeace et d’écolo-radin. J’y ai entre autre appris que le marc de café, ce résidu de café infusé que l’on jette à chaque matin, avait en fait de multiples usages. Que celui-ci pouvait par exemple servir de produit nettoyant pour les taches de graisse, qu’il est très utile pour décourager les fourmis exploratrices qui sillonnent parfois nos armoires, comme neutralisateur d’odeur et même comme traitement contre les puces de votre Toutou favori! (détails de ces trucs et plus ici) Ce qui me permet de tirer la conclusion suivante : la débrouillardise et la créativité font bon ménage avec la protection de l’environnement, que ce soit à l’échelle municipale ou à celle de ma cafetière! Kévin
Iniquité intergénérationnelle : Une proposition de fonds gouvernemental pour faciliter l’accès à la propriété des jeunes Québécois
Dans un contexte de crise du logement exacerbée, entre autres, par l’inflation, les taux d’intérêt élevés et les défis climatiques, Laurence Vincent, présidente de Prével, a présenté une initiative audacieuse visant à soutenir les jeunes adultes dans l’acquisition de leur première propriété. Ce programme, détaillé dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale du Québec, propose des solutions concrètes pour contrer l’iniquité intergénérationnelle en matière d’habitation.
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