Par Lise Michaud
Une nouvelle année commence et cela m’incite à réfléchir. Je m’accorde une pause et je me dis que c’est le temps idéal pour faire un bilan. Mais je suis plus excitée à l’idée de définir ce que je souhaite accomplir ou ne pas accomplir en 2012.
Je sais que cela peut sembler un cliché mais par expérience (à mon âge on a un peu de vécu…) j’ai pu constater qu’en couchant sur papier des objectifs on a plus de chance d’être satisfait de soi à la fin de l’année. J’ai appris aussi à accepter que l’important n’est pas d’avoir tout réussi mais bien de reconnaître ce qu’on a bien fait et ce sur quoi on peut continuer de travailler. Ceci vaut autant pour ses buts professionnels que personnels d’un point de vue qualitatif ou quantitatif.
Je ne vous dévoilerai pas mes objectifs car je ne tiens pas à les publiciser. Par contre, j’aimerais vous faire part d’une réflexion qui peut tous nous rejoindre à un moment ou l’autre. Que l’on soit en début de carrière ou au mitan de la vie, on cherche tous à améliorer son sort. Et chemin faisant, d’un point de vue économique, on se demande parfois si l’immobilier demeure une valeur sûre pour faire croître son portefeuille.
En cette période d’incertitude et de crise financière en Europe, il est tout à fait normal de se questionner. Mais plusieurs experts se veulent aussi rassurants et s’entendent pour dire que le Canada est en bonne position pour rebondir si jamais une récession se pointait.
À mon humble avis, l’immobilier demeure une valeur tangible et accessible pour la plupart des gens qui veulent bien se prévaloir d’une stratégie financière. Je partage donc le point de vue de M. Claude Chiasson, chroniqueur économique bien connu dans Le Devoir qui mentionnait dans sa chronique du 17 décembre dernier « Posséder au moins une propriété dans son avoir est en mon sens un incontournable en matière d’enrichissement ».
Peut-être une piste pour votre plan 2012, pourquoi pas?
Bonne réflexion et surtout une très belle année 2012!
Lise