Par Louis P. Paquette Parfois, il est difficile de se situer et de tracer les plus et les moins de toutes les caractéristiques que l’on recherche lorsqu’on part à la chasse de notre condo de rêve. Est-ce que je préfère moins d’espace mais être à proximité du centre-ville? Ou maximiser ma superficie de vie tout en m’éloignant des grands centres? Bref, lors de mon premier achat au Loft impérial c’était non seulement la localisation, le côté industriel et le charme de la bâtisse qui ont attiré mon attention mais également tous les espaces communs qu’on pouvait y retrouver. Petit avertissement à l’intention des lecteurs : ce billet peut avoir l’air d’un « pitch » de vente mais je vous assure que c’est un cas vécu! Le week-end dernier, j’ai invité quelques amis pour un souper. Du rez-de-chaussée à mon unité, nous avons croisé quelques voisins d’étage qui allaient se faire un BBQ sur la terrasse près de la piscine. Nous avons tous terminé la soirée près du foyer au toit tout en profitant de la vue du centre-ville. L’autre jour, je parlais avec Marc, qui habite la Phase 2, et il me disait qu’il pratique chaque semaine un sport différent avec quelques résidents du projet. Une semaine c’est une partie de volleyball, l’autre de hockey cosom ou encore de basketball, dans notre gymnase. Lorsque je dis aux gens que j’habite un 590 pieds carrés, ils n’en reviennent tout simplement pas. Par contre, lorsqu’ils voient toute la superficie viable de nos espaces communs, ou encore lorsque je leur dis que ça me prend 10-15 minutes de marche pour aller au travail, leur regard change du tout au tout (pour atteindre un effet maximal quand je leur demande alors combien d’heures par semaine ils sont coincés dans la circulation!). Vivre au Loft Impérial, c’est adopter un mode vie de style urbain. Avec mon 590 pc., j’ai un condo qui m’offre des opportunités d’agrandir mon espace de vie par l’intermédiaire des espaces communs : activités sociales, terrasses sur les toits, gymnase, jardins verts, chalets urbains, salles de jeux, cinéma… À moi les grands espaces… urbains! Louis
Iniquité intergénérationnelle : Une proposition de fonds gouvernemental pour faciliter l’accès à la propriété des jeunes Québécois
Dans un contexte de crise du logement exacerbée, entre autres, par l’inflation, les taux d’intérêt élevés et les défis climatiques, Laurence Vincent, présidente de Prével, a présenté une initiative audacieuse visant à soutenir les jeunes adultes dans l’acquisition de leur première propriété. Ce programme, détaillé dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale du Québec, propose des solutions concrètes pour contrer l’iniquité intergénérationnelle en matière d’habitation.
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