Par Caroline Chbat Au cours des dernières années, il m’est arrivé à deux reprises de vouloir m’inscrire à des cours du soir en formation continue, mais la seule idée de faire une heure de trajet pour m’y rendre m’enlevait toute motivation. Il m’arrive donc maintenant souvent d’apprécier les bienfaits « académiques » de vivre au centre-ville. Vivre au Séville, je m’inscrirais à au moins un cours par session; je serais une éternelle étudiante! À mon humble avis, la formation et l’éducation ne sont pourtant pas qu’un passe-temps pour le type intello ou curieux. Avec l’évolution constance de la technologie, il est presque essentiel aux adultes (et aux jeunes aussi!), peu importe le domaine, de rester « à jour » comme on dit. Avec le Collège Lasalle, l’Université Concordia et le Collège Dawson, comme voisins, le quartier Shaughnessy est riche de connaissance et de savoir. À nous d’exploiter cette richesse. De plus, l’Université McGill, l’une des universités les plus réputées à travers le monde, est à seulement deux stations de métro de distance et plusieurs pavillons de l’Université de Montréal sont à dix minutes en autobus (la 165, vers Côte-des-Neiges). En matière d’éducation, il faut dire qu’on est choyés à Montréal, avec nos trois grandes universités au centre-ville. Ce n’est pas par hasard que des jeunes viennent de partout à travers le monde pour étudier chez nous. Quelle est votre opinion sur l’éducation tout au long d’une vie? Êtes-vous plutôt du genre qui aimez apprendre « sur le tas », en autodidacte, ou appréciez-vous davantage d’être assis sur un banc d’école? Caroline note : la photo illustrant ce billet est tirée du site de l’Université McGill
Iniquité intergénérationnelle : Une proposition de fonds gouvernemental pour faciliter l’accès à la propriété des jeunes Québécois
Dans un contexte de crise du logement exacerbée, entre autres, par l’inflation, les taux d’intérêt élevés et les défis climatiques, Laurence Vincent, présidente de Prével, a présenté une initiative audacieuse visant à soutenir les jeunes adultes dans l’acquisition de leur première propriété. Ce programme, détaillé dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale du Québec, propose des solutions concrètes pour contrer l’iniquité intergénérationnelle en matière d’habitation.
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