Après quelques années à écrire sur ce blogue, je me transforme graduellement en une critique culinaire amateure hors pair, et qu’à me sacrifier ainsi pour vous en goûtant à tout, j’ai eu beaucoup de plaisir… et pris quelques livres en trop! Blagues à part, voici une autre critique resto! La Gargote des antiquaires est un restaurant français qui a vu le jour il y a maintenant 7 ans. Il a battu pavillon au 1708 rue Notre-Dame Ouest avant de fermer boutique très récemment, ce qui m’a laissé croire, à mon grand désarroi, à la fin d’une aventure qui pourtant comblait bien mes attentes. Quelques mois plus tard, en levant les yeux après avoir fait le plein à la station d’essence située au coin des rues Guy et Notre-Dame, j’ai retrouvé la Gargote des antiquaires, au 1524 Notre-Dame ouest, un nouvel emplacement qui lui sied encore mieux, à mon avis. J’y suis retournée récemment, et comme auparavant, j’ai été accueillie par Jean-Pierre et Christine, un couple de Français super sympathiques et chaleureux, dans un décor renouvelé et flamboyant, avec des murs rouges et des boiseries jaunes, très différent des décors auxquels nous sommes habitués. Ils n’ont pas changé leur formule qui fonctionne à merveille : Jean-Pierre est au service en salle et Christine aux chaudrons. J’en suis sortie comme d’habitude très satisfaite. Leur menu est varié et très approprié pour un lunch en semaine. Leur ardoise suggère près d’une demi-douzaine de plats du jour, choisis par la patronne selon les arrivages. J’y ai mangé la meilleure galette de sarrasin de ma vie et j’adore leur petit steak français medium-saignant avec frites et salade. Parmi les autres choix offerts, l’on retrouve plusieurs variantes de crêpes bretonnes, le poulet aux fines herbes, le saumon poché, la bavette et le foie de veau. On peut s’y arrêter aussi simplement pour déguster un café. Si vous avez envie d’aller dans un endroit simple, accueillant et très abordable, La Gargote des antiquaires vous attend. Bon appétit! Kimi
Iniquité intergénérationnelle : Une proposition de fonds gouvernemental pour faciliter l’accès à la propriété des jeunes Québécois
Dans un contexte de crise du logement exacerbée, entre autres, par l’inflation, les taux d’intérêt élevés et les défis climatiques, Laurence Vincent, présidente de Prével, a présenté une initiative audacieuse visant à soutenir les jeunes adultes dans l’acquisition de leur première propriété. Ce programme, détaillé dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale du Québec, propose des solutions concrètes pour contrer l’iniquité intergénérationnelle en matière d’habitation.
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