Découverte pour le moins surprenante que ce roman québécois qui nous ramène au temps de Sergio Leone mais en territoire montréalais. Griffintown. Qui vit à Montréal entend parler de ce populaire quartier dont on ne cesse de parler dans tous les médias. Alors est-ce si étonnant de voir qu’on a pensé en faire un roman ! L’auteur Marie Hélène Poitras a intitulé son roman « Griffintown » et s’est inspirée, en partie, de toutes les questions territoriales qui surgissent en ce moment suite au développement de ce secteur du Sud-Ouest de Montréal. Jusque-là on comprend, mais on trouve quand même étrange cette association au Far Ouest en plein milieu urbain et à l’ère des téléphones cellulaires. On saisira davantage le lien au Far Ouest (écrit de cette manière dans le roman) si on a pris connaissance du débat sur la sauvegarde de certains sites dont le Horse Palace situé sur la rue Ottawa. Même si ce site fait partie d’une autre époque, il sert encore d’écurie. Tout comme moi, vous serez sans doute étonnés d’apprendre que les chevaux des caléchiers du Vieux-Montréal y logent encore. Un comité a d’ailleurs été mis sur pied pour tenter de préserver la vocation de ce site vieux de 150 ans. Comme on le constate il n’est pas facile de trouver un équilibre entre la conservation et la mise en valeur patrimoniale de certains lieux et d’autre part un développement harmonieux tourné vers l’avenir. Je trouve toutefois très encourageant et positif que le débat prenne place pour favoriser les meilleurs choix possibles pour tous les résidents actuels et ceux qui songent à venir s’y installer. Et vous, avez-vous une opinion sur le sujet ? Lise
Iniquité intergénérationnelle : Une proposition de fonds gouvernemental pour faciliter l’accès à la propriété des jeunes Québécois
Dans un contexte de crise du logement exacerbée, entre autres, par l’inflation, les taux d’intérêt élevés et les défis climatiques, Laurence Vincent, présidente de Prével, a présenté une initiative audacieuse visant à soutenir les jeunes adultes dans l’acquisition de leur première propriété. Ce programme, détaillé dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale du Québec, propose des solutions concrètes pour contrer l’iniquité intergénérationnelle en matière d’habitation.
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