Récemment, j’ai fait l’essai d’un restaurant très prisé des Montréalais : le Boris Bistro. Vous savez, cette grande terrasse arborée protégée par une façade en pierres sur la rue Mc Gill? Celle qui est toujours bondée à l’heure du lunch? Je n’y avais jamais été et j’avais bien tort. Comme le dit le dicton : « À Rome, il faut faire comme les Romains »… et bien il tient la route à Montréal aussi. Réservation en main, je me suis donc rendu au 465 rue Mc Gill en soirée. Ma table était sur la terrasse, qui est en fait une cour intérieure. Le Boris Bistro présente une cuisine à l’européenne, teintée de produits locaux. Par exemple, vous trouverez dans le menu des cocktails le « Martini Sauvage », préparé avec l’on ne peut plus québécois Dry Gin Ungava Premium, un gin composé de six plantes aromatiques cueillies dans la toundra boréale et élaboré au Québec. Même James Bond n’y a jamais goûté! Mais attention : « shaken not stirred » s’il-vous-plaît. On n’est jamais trop prudent. Après avoir consulté le menu, j’avais l’estomac dans les talons. En entrée, j’ai choisi la Guédille au tartare de saumon, accompagné d’une barquette de frites au gras de canard, sauce Boris. Comme plat principal j’ai pu goûter au Raviolis ricotta épinard, beurre de carottes et au Risotto au canard, sauce crémeuse pleurote, sauge et orange. Excellent. Le tout s’est conclu par une portion de Mamirolle, un fromage d’ici dont je ne saurais me lasser. Bien que la terrasse soit attrayante, le Boris Bistro possède une salle à manger spacieuse qui est ouverte à l’année longue. Songez à profiter de cet endroit typiquement montréalais lors de votre prochain passage dans le Vieux-Port. Ou peut-être attendrez-vous de vous être installé tout près, dans un des magnifiques condos urbains du 21e arrondissement? Bon appétit ! Nicolas La photo à la une de ce billet provient du site www.borisbistro.com
Iniquité intergénérationnelle : Une proposition de fonds gouvernemental pour faciliter l’accès à la propriété des jeunes Québécois
Dans un contexte de crise du logement exacerbée, entre autres, par l’inflation, les taux d’intérêt élevés et les défis climatiques, Laurence Vincent, présidente de Prével, a présenté une initiative audacieuse visant à soutenir les jeunes adultes dans l’acquisition de leur première propriété. Ce programme, détaillé dans un mémoire déposé à l’Assemblée nationale du Québec, propose des solutions concrètes pour contrer l’iniquité intergénérationnelle en matière d’habitation.
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